Qui suis-je ?
Je suis né ici, j’ai grandi ici, et toute mon histoire personnelle est liée à Lattes. J’ai fait mes premiers pas d’élève à l’école du Baladet, à Boirargues, avant de poursuivre au collège Georges-Brassens puis au lycée Jean-François Champollion, avant de faire mes études de Droit public à Montpellier. Ce sont ces années, passées à arpenter les rues de notre commune, qui m’ont donné l’amour de cette ville et l’envie de la protéger.
Très jeune, je me suis investi dans le tissu associatif Lattois, parce que la vie d’une commune ne se réduit pas à son administration : elle se construit dans les clubs, les événements, les bénévoles, les habitants qui se connaissent et s’entraident. Cet engagement associatif m’a appris ce que signifie être utile et présent pour sa ville.
J’ai ensuite travaillé au sein de plusieurs collectivités, ce qui m’a donné une expérience concrète de la gestion d’une ville, de ses priorités, de ses défis quotidiens, et du rôle d’un maire : protéger, décider, anticiper, écouter.
Aujourd’hui, je vis toujours à Lattes. C’est ici que j’ai fondé ma famille, ici que je suis devenu père, ici que je veux voir mes enfants grandir dans une ville équilibrée, apaisée et cohérente, comme celle que j’ai connue. Et si je me présente aux municipales de 2026, c’est justement pour préserver cette qualité de vie qui fait l’identité de Lattes.
Pourquoi je me présente ?
J’ai travaillé dans le secteur privé mais aussi au sein de plusieurs collectivités, aujourd’hui en tant que Directeur de cabinet, j’ai une expérience concrète de la gestion d’une ville, de ses priorités, de ses défis quotidiens, et du rôle d’un maire : protéger, décider, anticiper, écouter.
C’est ici que j’ai fondé ma famille, ici que je suis devenu père, ici que je veux voir mes enfants grandir dans une ville équilibrée, apaisée et cohérente, comme celle que j’ai connue. Et si je me présente aux élections municipales de 2026, c’est justement pour préserver cette qualité de vie qui fait l’identité de Lattes.
Depuis plus de quinze ans, je m’engage dans la vie publique. J’ai mené des campagnes, j’ai été candidat aux élections législatives et j’ai travaillé dans des collectivités exigeantes. Au fil de ces expériences, une évidence s’est imposée : Lattes entre dans une période charnière, et ce qui se jouera dans les années à venir déterminera durablement notre cadre de vie.
La ville s’est transformée vite, parfois trop vite. Les habitants le ressentent dans leur quotidien : la densification, la circulation, la sécurité, le manque de cohérence urbanistique… C’est ce diagnostic partagé qui m’a conduit à entrer dans la course.
Je ne me présente pas contre quelqu’un, mais pour proposer une voie nouvelle, plus respectueuse de l’identité de notre commune.
#Urbanisation : protéger Lattes d’une urbanisation démesurée
C’est le sujet qui revient dans toutes les conversations, dans tous les quartiers, de Boirargues à Maurin, de Port-Ariane au centre :
La sur-urbanisation inquiète les Lattois.
Les documents métropolitains prévoient jusqu’à 35 000 habitants d’ici 2040, contre 18 000 aujourd’hui. On évoque entre 8 000 et 10 000 nouveaux logements, avec des bâtiments de 8 à 14 étages, parfois composés jusqu’à 40 % de logements sociaux imposés.
Ce n’est pas ma vision de Lattes.
Ce n’est pas la ville où j’ai grandi.
Ce n’est pas la ville dont les Lattois me parlent.
Il faut préserver une commune pavillonnaire, respirable, équilibrée, où l’on peut circuler sans bouchons, où les quartiers gardent leur identité et où l’on ne densifie pas pour densifier.
Nous ne sommes pas opposés au développement : il est nécessaire. Mais il doit être maîtrisé, raisonnable, et surtout, il doit profiter en priorité aux Lattois, notamment à travers la primo-accession, afin que nos jeunes puissent s’installer ici au lieu d’être contraints d’aller ailleurs.
#Sécurité : garantir la tranquillité du quotidien
Lattes compte aujourd’hui 22 policiers municipaux, ASVP inclus. C’est insuffisant pour une commune de première couronne, exposée à une délinquance qui progresse d’année en année.
Renforcer les effectifs de police municipale ;
Accroître la présence sur le terrain ;
Restaurer une autorité républicaine claire, visible, efficace ;
Répondre aux problèmes concrets qui touchent les habitants.
La sécurité n’est pas un slogan. C’est la première des libertés. Et c’est une responsabilité majeure du maire.
Circulation, stationnement, cadre de vie : retrouver une ville fluide et agréable
La croissance urbaine, telle qu’elle a été conduite, a mécaniquement engendré :
des bouchons quotidiens,
des difficultés de stationnement,
une ville qui devient plus compliquée à vivre.
#Je m’engage à maintenir une fiscalité stable, sans hausse d’impôts.
Je veux soutenir nos zones d’activités pour renforcer l’emploi local et dynamiser l’économie.
Je porterai une attention particulière :
Aux familles (services, écoles, loisirs),
Aux seniors (mobilité, isolement, accompagnement),
Aux jeunes (logement, emploi),
Aux associations, qui sont le cœur vivant de Lattes.
Je veux rassembler largement, autour d’une vision simple :